Aujourd’hui, je suis intervenu dans le cadre de la 3rd International Conference for Carceral Geography, à l’Université de Liverpool. Le thème était « counterpoints and counter-intuition ». J’ai présenté la manière dont, en limitant officiellement la peine privative de liberté à une privation de mobilité physique et en exigeant du détenu qu’il se mobilise, la « loi de principes » réglant la vie en prison tentait une abolition symbolique de la prison, pour éviter de devoir la justifier.
La vidéo est ci-dessous (en anglais).