Are space and prison what we think they are? (Eurocrim2019)

Today, I presented some reflexions about carceral geography and interdisciplinarity in the panel I organised with Anna Schliehe at the Eurocrim2019.

The question was to know how a spatial approach modified my vision of prison… Here’s the presentation (sound & slides). The working paper can be found here.

Brève présentation de l’idéal mobilitaire

Le Forum Vies Mobiles vient de mettre en ligne des versions plus longues (13 minutes) de la présentation des travaux que je mène avec Bertrand Montulet qui avait été enregistrée à l’occasion de la préparation de l’exposition « Mobile/Immobile ». Vous y retrouverez une présentation succincte des développements de notre réflexion sur notre rapport contemporain à l’espace-temps et à la mobilité, ainsi que sur les conséquences individuelles et collectives de ces changements.

La vidéo est présentée sur leur site en français et en anglais.

Chritophe_Mincke_Injonction_mobilite from Forum Vies Mobiles on Vimeo.

Présentation de « La société sans répit » à l’ARAU

Hier, je présentais « La société sans répit » à l’occasion du cinquantième anniversaire de l’ARAU. Vous retrouverez, en un peu moins d’une heure, l’exposé des thèses principales de l’ouvrage, avec, en point de mire, une interrogation sur l’évolution de notre rapport à la mobilité: comment la voyons-nous? comment la valorisons-nous?

Présentation de « La société sans répit » à l’Université catholique de Louvain

Aujourd’hui, je présentais à un séminaire commun des CIRFASE, CIRTES et GIRSEF, l’ouvrage « La société sans répit. La mobilité comme injonction » que j’ai récemment publié avec Bertrand Montulet.

C’était l’occasion de présenter le cadre théorique et ses interprétation plus en détail que dans une communication standard de 15 minutes. Une heure de présentation et une heure d’échanges avec l’assistance, merci à Laura Merla d’avoir organisé ça!

Comme d’habitude, vous pouvez entendre l’intégralité de l’intervention (mais pas les questions) sur Youtube.

Participation à l’émission « Les éclaireurs »

Samedi 19 avril, j’ai participé à l’émission « Les éclaireurs », animée par Fabien Vander Meersche, sur La Première (RTBF). J’y étais aux côtés de Séverine Robert (physicienne) et de Nicolas Dendoncker (géographe). J’y présentais l’ouvrage que j’ai coécrit avec Bertrand Montulet, « La société sans répit. La mobilité comme injonction ».

Vous pouvez réécouter l’émission ici.

A la radio suisse

Aujourd’hui, j’ai participé à l’émission Tribu de la RTS.  Près d’une demi-heure m’a été offerte pour aborder l’ouvrage que j’ai publié avec Bertrand Montulet au sujet de l’injonction à la mobilité.

Epuisement, surcharge, effets bénéfiques et délétères de l’affaiblissement de l’idéal de l’ancrage ont été les principaux thèmes abordés.

L’enregistrement est en ligne ici.

Courte présentation de mes travaux sur l’idéal mobilitaire

Dans le cadre de l’exposition Mobile/Immobile, actuellement au Musée des Archives nationales de Paris, j’ai donné une interview sur les travaux que je mène avec Bertrand Montulet sur notre rapport à la mobilité.

Une capsule vidéo en a été tirée, qui est montrée à l’exposition, mais peut aussi être regardée en ligne. En cinq minutes, j’y présente quelques-uns des traits saillants des recherches qui font l’objet de l’ouvrage récemment paru aux Editions de la Sorbonne.

Entretien Christophe Mincke pour Forum Vies Mobiles from StoryCircus on Vimeo.

La société sans répit. La mobilité comme injonction

Aujourd’hui, parait aux Editions de la Sorbonne, l’ouvrage que j’ai coécrit avec Bertrand Montulet.

Intitulé « La société sans répit. La mobilité comme injonction », il se veut une analyse de notre rapport à la mobilité, avant tout sous l’angle de nos représentations de l’espace, du temps et de la mobilité, et sous celui des normes qui valorisent aujourd’hui la mobilité pour elle-même.

Vous pouvez trouver l’ouvrage sur le site de l’éditeur.

Voici la présentation de l’ouvrage:

Pourquoi sommes-nous si avides de mobilité et de changement ? Pourquoi le repos est-il perçu comme illégitime et la surcharge de travail, la norme ? Pourquoi nous appelle-t-on constam- ment à être autonomes et proactifs ? Pourquoi la politique, la pédagogie, la justice ou le manage- ment se trouvent-ils valorisés par l’ajout du terme « participatif » ? Pourquoi la exibilité et l’adap- tabilité sont-elles érigées en vertus cardinales ? Pourquoi les frontières font-elles partout l’objet de luttes, que l’on veuille les abattre ou les forti er ? Cet ouvrage sonde nos représentations de l’espace, du temps et de la mobilité, pour révéler l’ampleur du bouleversement de notre rapport au monde qu’elles produisent. Il en résulte l’émergence d’un « idéal mobilitaire », fondé sur une valorisation de la mobilité pour elle-même, et articulé en quatre impératifs : activité, activation, participation et adaptation. Bien au-delà du domaine des déplacements physiques, cette injonction à la mobilité étend son emprise sur la famille, le travail, les territoires nationaux, les genres, les sexes ou encore la prison, les redé nissant profondément. Ce volume propose non seulement des clés pour mieux comprendre les représentations de la mobilité et les normes sociales qui en découlent, mais également une grille d’analyse élargissant considérablement le champ des études de la mobilité.

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Exposition Mobile/Immobile

Du 16 janvier au 29 avril, se tiendra au Musée des Archives nationales, à Paris, l’exposition « Mobile/Immobile ». Des artistes et des scientifiques y entrent en dialogue autour de la question de notre rapport à la mobilité. Entre griserie et contrainte, entre liberté et course folle, le « tournant de la mobilité » est une des grandes interrogations contemporaines.

Je suis un des 9 scientifiques interviewés et j’apparaitrai sur un des écrans installés sur place.

Plus de renseignement sur le site du Forum Vies Mobiles, initiateur du projet.

Unexpected expectations. Prison as a way to promote mobility

Aujourd’hui, je suis intervenu dans le cadre de la 3rd International Conference for Carceral Geography, à l’Université de Liverpool. Le thème était « counterpoints and counter-intuition ». J’ai présenté la manière dont, en limitant officiellement la peine privative de liberté à une privation de mobilité physique et en exigeant du détenu qu’il se mobilise, la « loi de principes » réglant la vie en prison tentait une abolition symbolique de la prison, pour éviter de devoir la justifier.

La vidéo est ci-dessous (en anglais).